DPE ET PETITES SURFACES : VERS LA RÉVISION DES SEUILS DE CLASSE ? VEILLE RÉGLEMENTAIRE

DPE - étiquette
Publié le par Mathias LOVAGLIO

Les ministres Christophe Béchu et Guillaume Kasbarian ont confirmé ce matin des évolutions pour sortir 140 000 logements de petites surfaces du statut de passoires thermiques en corrigeant « le b...

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6 commentaires

  • PRONZAC Jean Pierre a écrit

    Plus besoin de rénover , Bravo

  • BE FACTEUR 4 a écrit

    Un locataire d’un studio passoire thermique va avoir du mal à comprendre que son DPE F ou G passe en E ou D, alors que sa facture énergétique continue de monter….

  • ETIC a écrit

    Pauvre France
    J’ai vraiment l’impression d’avoir confié le volant de ma bagnole à mon gamin de trois ans.
    « un biais de calcul » !!!
    mais des textes fournis par des politiques boiteux, logique, non ?
    C’est sûre, au stade des polémiques, difficile de mettre encore ce bordel sur le dos des diagnostiqueurs !

  • Cyrille GABILLARD a écrit

    On va encore passer pour des clowns..
    Merci

  • Yannick BACH a écrit

    Quel capharnaüm, quelle démagogie, quel foutoir ! On croit rêver, le nouvel apprenti-ministre Béchu y va de son petit commentaire et de sa petite formule magique. Heureusement qu’ils ne touchent plus aux calculs du DPE, vu la débâcle qu’ils ont causé en 2021, c’est une sage décision. Toute leur politique fumeuse de passe-passe écologique est le plus grand bluff du siècle, si demain Bouygues vient râler que ses cabanes sont mal notées, ils inventeront un « biais spécial Maisons Bouygues »! Il n’y a plus de limites, plus c’est gros, plus ça passe; leur connerie me donne la nausée!

  • Denis DELHOMMAIS a écrit

    En chauffage collectif, les performances énergétiques d’un bâtiment sont essentiellement liées à la conduite et la maintenance des équipements thermiques.
    Ces prestations sont souvent confiées à des exploitants via des contrats plus ou moins opaques.
    D’ailleurs en général, personne n’est en mesure de savoir réellement ce que consomment ces bâtiments. Les syndics y sont généralement indifférents.
    C’est pourquoi, afin de contribuer à une meilleure gestion des bâtiments ayant du chauffage collectif, il est nécessaire de revenir à la méthode des factures.
    Cette solution permettrait également de ne pas pénaliser, à tort, les logements défavorisés, comme ceux situés dans les angles.

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